A l’occasion de la journée internationale de lutte contre le travail des enfants
21 ans après la ratification par notre pays de la Convention Internationale des Droits de l’Enfant,les « petites bonnes » se comptent par dizaines de milliers. Provenant de milieux démunis en zones rurales et périurbaines, ces filles mineures sont condamnées à subir les pires formes d’exploitation et de violences, forcées à subvenir aux besoins de leurs familles.